De Rouen à Rio

Mon frère m'accompagne en voiture jusqu'au métro, on passe devant mon ancien collège, il y a des Spiderman accrochés aux bâtiments. On croise un gars qu'on connait en train de danser la tecktonik, on le salue et on continue notre route. J'arrive au métro, je cours pour valider mon ticket mais trop tard je suis déjà dans le métro (?) ! J'ai peur qu'il y aie des contrôleurs alors je décide de descendre à Théâtre des Arts ou Palais de Justice sauf que le métro ne s'y arrête pas ! C'est la panique et la prochaine station est éloignée, une voix annonce "Puteaux" (dans le 92). Alors là c'est la panique et je vais chez Fon. Je dois quand même aller à la fac, je prends une nouvelle fois un train et arrivée devant la fac : il n'y a personne sauf un autre collègue qui me dit qu'il y a grève et qui me demande si j'ai fait mon devoir et insiste pour me montrer le sien. On va s'installer sur une terrasse de café et on croise Stéphane Guillon, verre à la main, qui dit "je suis fan de moi, j'adore ce que je fais" et il va s'assoir à coté d'Edouard Baer. Il y a aussi Maradonna qui est harcelé par des fans et journalistes.
Ensuite, je retourne chez Fon, et il y a Tin et Sam qui sont là en train de manger. Je me joins à eux et Fon me dit que cet après-midi, nous allons fêter l'anniversaire de son amie. Nous sortons, il fait beau, nous sommes juste au bord de la mer, au Brésil. Nous nous installons sur une terrasse de café et nous buvons un cocktail. Au fur et à mesure que les autres tables se vident, elles disparaissent complètement, jusqu'à ce que la notre y passe aussi et nous nous retrouvons sur une route où passent beaucoup de voitures.
On s'écarte pour ne pas se faire tailler un short, Sam est sur un petit vélo bizarre (genre bmx). On ne voit plus le ciel bleu, tout est gris et cimenté. On dirait un tunnel. Les parents de Fon débarquent et on mange à nouveau. J'ai l'impression qu'une branche de mes lunettes est dévissée car elle bouge beaucoup. Je regarde et revisse. Puis je me retrouve avec un appareil photo dans les mains, avec un écran rabattable.