L'attaque des animaux-nains

Je participe à une sortie pour les cours. C'est le soir, il commence à faire nuit à Paris. Notre prof est en scooter et slalome entre les voitures, et nous, nous devons le suivre en courant ! On se rendait au théâtre.
Puis en sortant du théâtre, il y a encore du monde dans les rues. Je croise même mon amie avec une copine et Céline F. Elles se joingnent à nous pour rentrer. Et justement pour rentrer, à un moment il faut qu'on passe une porte tout ce qu'il y a de plus banal... Et on se retrouve dans une espèce de penderie, une petite pièce avec un placard. Ca donne sur une autre porte, on la prend et on se retrouve dans les bois. Ça fait peur, il fait nuit noire et deux groupes de gens sont assis en rond sur l'herbe. Certains portent des masques qui ne dévoilent que leurs yeux, mais tout le monde est habillé de couleurs vives. Ils s'éclairent avec des bougies. On ne fait pas trop attention à ce qu'ils font et on avance dans les bois en espérant pouvoir trouver notre chemin jusqu'à la maison. Et puis on entend des cris d'animaux, des loups. On fait demi-tour en courant, on ne voyait absolument rien, à un moment j'ai même senti une bête poilue me frôler... De retour dans notre "penderie", on est tous effrayé. Quelqu'un part demander aux gens bizarres dans les bois comment on peut rentrer chez nous, ceux-ci lui répondent qu'il va falloir tuer.
D'abord, ils nous envoient un "mini loup", un louveteau, un loup minuscule qui fait la taille de ma main. Bizarrement, ça restait une bête féroce et surpuissante, il voulait me tuer ! Je l'ai alors saisi de toute mes forces avec mes deux mains et je l'ai craqué en deux, plusieurs fois jusqu'à ce qu'il ne bouge plus. C'était triste. Vient ensuite un renard aussi petit que le loup. Celui-ci est coriace, il a encore plus de force mais j'arrive à le démembrer aussi... Je me sens nulle de faire ça. Arrive une grenouille, turquoise avec des pois oranges. D'un c'est dégoutant, de deux, elle est encore plus forte ! Je bataille dur avec la grenouille, mais elle résiste. J'ai voulu lui tordre la tête mais ses pois oranges sont devenus des pics et une aiguille (genre seringue) est sorti de l'un d'eux et est venue se planter dans ma main ! A l'instant même j'ai senti ma main s'affaiblir, puis mon corps. Avant de me retrouver paralysée, j'ai tordu la grenouille dans tous les sens que j'ai fini par la tuer.

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Je suis au Portugal avec la bande. Le soir, je suis rentre chez moi et je regarde un magazine de pub d'une boutique de chinois et ils ont de super vêtements... Puis un pote me téléphone, il me demande si je veux ressortir, ok. Je décide de me changer et j'ouvre mon armoire : j'ai un haut blanc et vert à fleur jaune et sa longue jupe coordonnée, j'aime pas. J'ai des vieux tshirts taille bébé Super Mario et Tortues Ninjas. J'ai pensé les porter par dessus un tshirt blanc mais non, vraiment trop petit. Je remarque un halo de lumière sous ma porte, normalement mes parents sont couchés à cette heure-ci... J'ouvre et je vois ma mère assise dans les escaliers, en pleurant. Elle me dit qu'elle a peur que mon père soit encore au café à payer des coups à tout le monde. Hum et là mon père est arrivé et nous a expliqué qu'il s'était occupé d'enfants en chaise roulante au catéchisme.

Eh mec, elle est où ma caisse ?

Je sors de chez moi avec la voiture, la Nissan Primera. Arrivée en haut de ma rue, j'aperçois Ludivine et Robert qui rentrent chez eux à pieds. Je me gare vite fait sans souper le contact et je leur cours après pour leur proposer de les raccompagner en voiture... Catastrophe, la voiture a disparue, je cours comme une furie voir si je ne l'ai pas garée ailleurs, mais elle a bel et bien disparue. Complètement paniquée, que vont dire mes parents ?! Le lendemain, on devait vendre la voiture et il n'y avait plus de voiture ! C'était horrible. Nous nous sommes retrouvés dans un véritable film catastrophe : on était sur une espèce d'île, mi verdure mi glace. Et c'était en train de fondre. En trainant de tous les côtés de cette île, j'ai retrouvé un endroit où plusieurs voitures identiques à la mienne avaient été vandalisées, mais je ne reconnaissais pas ma plaque d'immatriculation... Plein de gens que je connaissais se trouvaient sur l'île, ils avaient l'air de s'amuser... Jusqu'à ce que la glace décide de fondre, tout le monde s'est précipité pour rejoindre la terre (il y avait un petit passage plein d'herbe qui le permettait). Les derniers ont du finir à la nage. On marchait en file indienne, par petits groupes. Je suis avec mon cousin Dens et on parle de tout et rien, comme si j'avais oublié l'affreux sort de la voiture... Derrière nous ça traine, on ne voit plus personne, et devant on a vu Leti au téléphone. Pour rentrer chez nous, on doit aussi traverser un village (Torre) et les habitants nous regardent comme si on était des aliens... Le chemin a été vraiment très long.

Bizarreries

Je veux acheter un trépied. Je fais les magasins avec ma mère et mon homme. Il me dit de prendre un modèle bizarre à 33euros et me fait même une démonstration... mais il est vraiment bizarre, avec deux pieds fins mais larges (donc pas vraiment un trépied).

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Je suis dans une chambre de clinique, construite et décorée comme un chalet. Les murs sont en bois, tout est en bois d'ailleurs. Je suis avec un couple inconnu. Une infirmière passe dans la chambre et dépose un bébé sur un petit rebord d'un mur, assez haut. J'ai cru qu'elle était folle et elle me dit qu'il n'y a pas de problème, qu'ils font toujours comme ça. Par peur, je lève le bras et fait barrage avec ma main pour que le bébé ne tombe pas car il bouge beaucoup, en attendant que l'infirmière vienne le récupérer. En effet elle revient peu de temps après et repart aussitôt. Le couple et moi y avons prêté alors moins d'attention et quand j'ai tourné la tête, il y avait un bébé par terre. "Il est tombé du mur ?", le couple m'a rassuré "mais non, tu vois bien qu'il n'a rien". Paniquée, je m'approche et le bébé bouge et n'a pas l'air d'avoir mal... Mais il s'est mis à jaillir du sang de sa bouche. C'est dégoutant. On appelle l'infirmière à l'aide, qui l'emmène aussitôt aux soins. Ensuite, j'ai eue une petite envie et j'ai été aux toilettes. Elles étaient en bois comme tout le reste. C'était étriqué, et la hauteur ne devait pas dépasser 1m30. Elles s'ouvraient avec des portes battantes.

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Je participe à un concours de danse, un concours de twist ou je ne sais quoi, et je suis habillée comme dans les années 60.

Meurtre, robots et appareil photo

Je vais seule à un concert/fête dans la rue, il y a foule. Paska passe devant moi et je lui dit "salut". Le temps passe et je décide de partir avant que tout le monde ne parte au même moment, pour éviter un bouchon. En allant vers le parking, je passe devant deux grands gars noirs qui parlent doucement "y a un cadavre là, on fait quoi ?". Ça me fait peur, j'accélère le pas et me retourne discrètement. J'aperçois un petite fille (3 ans tout au plus), noire elle aussi, gisant par terre. Là je ralentis et me dit que je ne peux pas aller jusqu'à la voiture toute seule, j'ai trop peur qu'on me vole mon iPhone et ma voiture. La police arrive en trombe, je ne sais plus si c'est moi qui l'ai prévenue... Ils arrêtent aussitôt les deux mecs et la foule panique.

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Je suis au restaurant, il y a des gens de ma famille aux différentes tables et moi j'étais en tête-à-tête avec mon homme. Les serveurs sont des robots énormes qui passent en courant entre les tables, ça faisait assez peur. J'ai envie de me lever pour aller aux toilettes donc je cours pour ne pas me faire écraser par un robot car ils passent comme sur un circuit et ne font pas attention aux obstacles. Je me retrouve dans la cuisine et vois Kumi et sa mère qui préparent des muffins. Je m'assois à la table et je les aide : il faut rouler une boule de miettes de muffin puis les humecter pour pouvoir les modeler. Après quelques minutes, d'autres personnes de ma famille nous ont rejoint pour rouler les muffins.

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Je suis chez un oncle mais sa maison était différente de la vraie. Un de mes cousins me suit partout. Un moment mon oncle me dit "mais j'ai un appareil photo moi aussi, un K10 je crois". Je suis partie dans le salon et j'ai effectivement vu un vieil appareil photo (rien à voir avec le véritable K10D). Après ça, je me suis baladée dans la maison et mon cousin me suivait toujours.

Voler, c'est mal (2)

Un de mes petits cousins dort chez moi. Je me lève au milieu de la nuit et il me suit au salon. Ma mère se lève aussi et m'accompagne à l'école, mais il fait nuit noire et les phares ne fonctionnent pas, bizarre. Elle me dépose et repart. Je me dirige à l'entrée, je pousse une première porte et après je me mets à courir et je fonce dans ce qui devrait être une autre porte, sauf qu'elle est condamnée, et AÏE je me cogne. Un mec me demande si ça va et je m'en vais vers ma salle de cours. Derrière moi il y a une bande de filles qui gloussent "ah le magasin est ouvert, vite ! hahaha !" et elles me bousculent comme des furies pour entrer dans un magasin de vêtements non surveillé. Elles remplissent leur sac et moi, tentée, je pioche 3 ou 4 petits trucs et je monte les escaliers pour aller en cours. Là, une prof nous arrête et commence à parler, nous faire la morale, ça dure longtemps. D'un coup je ne sais pas pourquoi, je fais ma yamakasi et je monte 2 étages plus hauts tel un singe à grandes jambes. Et puis, comme y a rien à voir, je redescends, tout en acrobaties.

Le tracteur fou

Je suis dans la voiture de T, un énorme bolide à ras de terre, il roule très vite. On passe sur un pont qui s'ouvre (comme ceux pour laisser passer les bateaux), la route ressemble à de l'acier, tout strié et donc ça secoue un peu. Il y a 4 ou 5 files à sens unique et on ne peut pas changer de file puisqu'il y a des gros plots jaunes sur chaque voie. On passe ensuite sous des espèces de barrières qui se lèvent quand on a le droit de passer, avec un feu orange dessus, et à chaque fois on passe juste en dessous, à ras. A un moment la route commence à s'ouvrir, Thierry freine brusquement. Devant nous et derrière nous, la route est coupée et il n'y a plus que nous.
La voiture disparait, les trous aussi, et on se retrouve dans un très grand gymnase, il y a d'autres personnes dont Cat et Fil. Un prof de sport nous dit d'attraper la corde au-dessus de nous, de grimper un peu. On le fait et on s'attache une fois là-haut. Nous voilà tous accrochés par une corde, on a l'air fin. Il y a une pause, on redescend tous et on papote. Je vais voir Cat qui est assise sur une chaise, elle se couvre avec un blouson en cuir et je lui dit "hey j'ai failli acheter le même !". On sort toutes les deux du gymnase pour aller derrière, on rejoint Dens et El qui discutent.
A un moment, on entend un gros vacarme, des semi-remorques passent devant nous à toute vitesse, comme si les chauffeurs étaient fous. Suivent des monstres de couleur beige, à l'aspect caillouteux... On préfère s'enfuir et on se dirige vers une petite maison abandonnée que je connais, sauf que El continue à courir et nous dit de le suivre vers les champs, qu'on ne risque rien. On le suit donc en longeant des champs et quelques maisons. On entend le bruit d'un tracteur... On panique totalement et on tente de se cacher avant qu'il ne nous voie. Cat se réfugie dans un champs et Dens, El et moi, derrière la barrière d'une maison. Mais c'est trop tard car il me semble que le tracteur nous a aperçu de loin. Doucement il s'approche de la barrière et s'arrête. On n'entend presque plus le moteur. J'ai peur. Le moteur tourne toujours mais personne n'est sorti de l'engin alors je lève la tête discrètement et je vois le conducteur armé d'un pistolet qui attendait juste qu'on lève la tête. Il a tiré mais je me suis baissé assez vite, sauf qu'après il a eut El.

Fnac, certifié non conforme

Je postule pour un emploi à la Fnac. L'entretien se passe dans un grand entrepôt de verre. On est beaucoup de candidats, assis contre le mur, tout le tour du bâtiment. Un homme en costume nous fait un petit discours assisté d'une jeune femme. Pendant qu'il parle, on doit se changer dans notre future tenue de travail : robe ou jupe turquoise, ou jeans. J'ai choisi la troisième option. Les jupes et robes étaient "flashy", volantées et plutôt courtes. La jeune femme nous demande de la suivre dans une petite pièce ordonnée comme une salle de cours. On s'installe tous et moi je me retrouve à côté de Luigi, un mec avec qui je ne m'entends pas super bien... On doit passer un test qui sert à évaluer notre culture artistique. D'abord on a juste à copier des choses écrites sur un tableau. Ensuite je ne sais plus. Et la troisième partie consiste à trouver des noms d'albums musicaux pour chaque lettre de l'alphabet. Luigi n'arrêtait pas de me donner des coups de coudes... Nul.

Appelez la SPA !

Je suis en cours aux USA avec des gens que j'ai connu à des époques très différentes. Karim se vantait de vivre à Las Vegas. Et le prof m'a engueulé parce que je n'ai pas fait mon devoir : tracer un graphique.
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Je suis dans ma chambre et je vois deux grosses mouches et deux teckels. Je les tue et je les emballe dans du plastique et je les jette dans ma poubelle.

Piégé

Je suis au village au Portugal et je tends un piège à un chevreau marron. C'est un piège tout bête : une bassine bleue tenue par un bâton, avec un petit truc à manger en dessous. Un chevreau est arrivé et je l'ai piégé dedans, je l'ai pris dans mes bras mais il se débattait, alors je l'ai étranglé...
Plusieurs chiens passent à coté de moi et ils ont l'air d'avoir faim. Il y en a un qui me mord la main et qui ne veut plus me lâcher. Je pique le chevreau avec une espèce de grande fourchette de barbecue pour aller le jeter. La première poubelle où j'ai été était une vraie montagne, je n'ai pas réussi à la mettre sur le tas d'ordures qui faisait deux fois ma taille. A côté il y avait deux petites vieilles assises à discuter. J'ai donc été à une autre poubelle, des chiens m'ont suivi. Il y a encore quatre petites vieilles à coté de cette poubelle, elles ne font pas attention à moi et je jette le chevreau.
Je me retrouve assise sur un petit muret de l'ancienne école, avec mon pull trempé comme si je l'avais lavé juste avant (du sang de chèvre ?)... Il y a la petite Alison sur la balançoire et un groupe de mecs en costards. Je les rejoins, apparemment il y a un mariage. Paulo m'attrape par le dos pour m'accompagner à la voiture de mes parents. J'ai trouvé que sa main descendait un peu trop en bas de mon dos. Enfin je suis montée dans la voiture, et mon père m'a déposée devant le café où étaient réunis les filles et femmes. Tout le monde buvait, l'air content.